« Derrière l’écorce de ta beauté infinie Se taisent mille ans, se cachent mille vies. Géant magnifique tu illumines ma joie, Et mes yeux devant toi ne me suffisent pas… Tes bras noueux accueillent le vent monotone, Te décoiffe de tes feuilles devenues mortes… Sombre pluie chemine ton corps de veines fortes Et disparaît sous tes précieux pieds d’automne. Tes membres…